Grande réunion autour de Ségolène Royal dimanche 11 février à 14h30 à Villepinte

Jerry,

Il y a encore des gens qui essayent de déterminer quel est le meilleur concurrent pour la France et non pas "POUR LEUR CAMP".

Mes affinités me poussent vers les radicaux et vers le "Chè". Il y à deux ans, je pensais que Mr Sarkozy était l'homme dynamique qu'il nous fallait. Il y a un an je pensais que Mme ROYAL était la femme qui pouvait faire faire son aggiornamento à un PS-caviar grabataire et nous faire passer au socialisme moderne à la Suédoise.

Aujourd'hui je me suis aperçu que le "dynamique" n'était que velléitaire et que c'est le PS-caviar qui à eu la peau de Mme ROYAL est non l'inverse.

Ségoszy étant démasqué, il ne me reste comme option "raisonnable" que Nicolas Dupont Aignan le seul homme sincère de cette élection et François BAROU, dont la proposition de détaxer toute première nouvelle embauche est beaucoup plus importante qu'elle n'en à l'air, en tout cas la seule mesure de tous les candidats à promouvoir une diminution du chômage. Bien sûr dans l'idéal, il devrait étoffer cette mesure vers les PME qui sont le poumon économique de la FRANCE.

Si Bayrou est assez intelligent pour aller récupérer le monde du travail en dépénalisant les salaires (proposition de Borloo qu'aucun candidat n'a eu la présence d'esprit d'attraper au vol), il peut encore étonner.

La "Barre à gauche" de Ségolène, laisse une boulevard à François BAYROU au centre gauche: En profitera t'il ?

En tous cas, la réunion d'hier à Paris ...
http://www.segoleneroyal2007.net/article-5556095.html
... a mis en appétit: bel ETAT DES LIEUX que ce tableau très actuel que nous a brossé Ségolène Royal : le quotidien de chacun, les manoeuvres sordides qui ont (et ça n'est pas fini) fleuri, surtout de la part du conglomérat économico-politico-médiatique qui tient les rênes du pouvoir, les attentes d'une France d'aujourd'hui métissée, ouverte sur le monde, soucieuse d'en infléchir les valeurs vers plus d'intégrité, d'égalité, et de justice, mais aussi CERTAINE FRAGILITE passée du PS : s'il y a eu une "gauche caviar", il semble que cet état de chose va se clarifier...
Discours fondateur.
Merci Ségolène. Et Merci Jean Pierre Chevènement de soutenir Mme Royal, qui accepte le combat contre la droite ET aussi, m'a-t-il semblé, contre les "faux amis"... Manifestement elle a su, elle sait, et elle saura choisir les équipiers intègres, dévoués à des valeurs profondément socialistes, et solides sur lesquels elle pourra compter.

Le vide et le plein… Vous êtes pathétiquement en train de reproduire de stériles discussions de bistrot ou de partisans flétris par un encartement politique de longue date. Les débats actuels sont effectivement vides car l'enjeu serait une véritable proposition de changement de politique économique, et qui plus est une rupture avec le capitalisme d'Etat, qui s'allie souvent à la "raison d'Etat", responsable du maintien des économies de plusieurs continents à un stade proto-agraire, et de la catastrophe écologique que tous ont étrangement éludée quand il était encore temps de réagir.
Personne ne peut en effet autoriser dans un Etat souverain que tout et n'importe quoi soit fait en matière de logement par exemple : pas de politique d'urbanisme lisible dans la plupart des communes de France ; marchés attribués dans des conditions toujours entâchées de suspicion de clientélisme ; spéculation immobilière autorisée alors que le plafonnement des loyers et des prix à la vente se devaient d'être les garde-fous nécessaires au maintien d'une des garanties essentielle du droit à un logement idécent inscrit dans la déclaration des Droits de l'Homme et du citoyen. La faute à qui ? Droite ou gauche ? Qui aura l'impudence de crier sur le camp adverse sur ce dossier ? Et tant d'autres qui ont été gérés avec le même mépris des classes laborieuses jamais rémunérées à hauteur de ce qu'elles ont fait gagner au grand patronat. La hausse de la productivité ça ne vous dit rien ? 35 heures de travail hebdomadaire devrait être une récompense minimum pour les générations qui ont donné leur sueur, et pour leurs enfants. Le travail ne libère pas. Seuls les nazis le faisaient croire à l'entrée du camp d'extermination d'Auschwitz.