La création, avec GDF-Suez, d’un deuxième grand énergéticien français à l’exemple de ce qui existe en Allemagne avec E.O.N. et R.W.E., est dans la logique de la libéralisation du marché de l’énergie décidée au niveau européen à la fin des années quatre-vingt-dix et concrétisée au sommet de Barcelone en 2002.
					 
					 
					 
La fusion EDF-GDF eût obligé à sacrifier des pans entiers de notre industrie pour faire droit aux exigences de la Commission européenne en matière de concurrence.
					 
					 
De nombreux points doivent être encore garantis : une participation de l’Etat telle qu’il soit clair que les orientations stratégiques du nouvel ensemble ne lui échapperont pas, y compris en matière de tarification et le maintien du statut des employés de GDF.
					 
					 
Mais l’existence de deux grands énergéticiens français de taille mondiale -EDF et GDF Suez – constitue un élément essentiel de sécurisation de nos approvisionnements en énergie dans les décennies à venir. C’est un choix stratégique qui ne doit pas être laissé à l’appréciation des marchés financiers.
			 La fusion EDF-GDF eût obligé à sacrifier des pans entiers de notre industrie pour faire droit aux exigences de la Commission européenne en matière de concurrence.
De nombreux points doivent être encore garantis : une participation de l’Etat telle qu’il soit clair que les orientations stratégiques du nouvel ensemble ne lui échapperont pas, y compris en matière de tarification et le maintien du statut des employés de GDF.
Mais l’existence de deux grands énergéticiens français de taille mondiale -EDF et GDF Suez – constitue un élément essentiel de sécurisation de nos approvisionnements en énergie dans les décennies à venir. C’est un choix stratégique qui ne doit pas être laissé à l’appréciation des marchés financiers.





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