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"Cet incident est plutôt amusant, Mme Nathalie Kosciusko-Morizet l'a ouverte", a plaisanté sur France 24 l'ancien ministre, dans une allusion à sa célèbre formule "un ministre, ça ferme sa gueule et si ça veut l'ouvrir ça démissionne". Il s'était appliqué à lui-même sa doctrine en démissionnant trois fois de ses postes ministériels.
					 
					 
Selon lui, le fait que la secrétaire d'Etat ait "traité de lâche, y compris M. (Jean-Louis) Borloo, qui est le ministre auquel elle est rattachée" et "Jean-François Copé", chef de file des députés UMP, "traduit un certain état d'esprit à l'intérieur gouvernement et de la majorité. Ca fait désordre".
			 "Cet incident est plutôt amusant, Mme Nathalie Kosciusko-Morizet l'a ouverte", a plaisanté sur France 24 l'ancien ministre, dans une allusion à sa célèbre formule "un ministre, ça ferme sa gueule et si ça veut l'ouvrir ça démissionne". Il s'était appliqué à lui-même sa doctrine en démissionnant trois fois de ses postes ministériels.
Selon lui, le fait que la secrétaire d'Etat ait "traité de lâche, y compris M. (Jean-Louis) Borloo, qui est le ministre auquel elle est rattachée" et "Jean-François Copé", chef de file des députés UMP, "traduit un certain état d'esprit à l'intérieur gouvernement et de la majorité. Ca fait désordre".
					 Mais "du point de vue de la déontologie gouvernementale, c'est une erreur de la part de Mme Kosciusko-Morizet d'avoir, d'une certaine manière, insulté M. Borloo. Toutefois, elle a fait amende honorable, elle s'est excusée, et elle file doux pour quelque temps, mais ça ne durera pas!", a-t-il estimé.
					 
					 
					 
Il a assuré que lui-même n'avait "jamais" agi ainsi, et avait été "un ministre discipliné".
					 
					 
"Tant que j'étais au gouvernement vous ne pouviez pas faire passer une feuille de papier à cigarette entre moi et le Premier ministre. Quand j'ai quitté le gouvernement, là oui, je me suis exprimé, j'ai distingué les temps", a ajouté le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen.
					 
					 
Après avoir parlé dans Le Monde d'un "concours de lâcheté et d'inélégance" à son égard entre Jean-François Copé et Jean-Louis Borloo, la secrétaire d'Etat leur a présenté mercredi ses excuses, sommée de le faire par le Premier ministre François Fillon.
			 Il a assuré que lui-même n'avait "jamais" agi ainsi, et avait été "un ministre discipliné".
"Tant que j'étais au gouvernement vous ne pouviez pas faire passer une feuille de papier à cigarette entre moi et le Premier ministre. Quand j'ai quitté le gouvernement, là oui, je me suis exprimé, j'ai distingué les temps", a ajouté le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen.
Après avoir parlé dans Le Monde d'un "concours de lâcheté et d'inélégance" à son égard entre Jean-François Copé et Jean-Louis Borloo, la secrétaire d'Etat leur a présenté mercredi ses excuses, sommée de le faire par le Premier ministre François Fillon.





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